DIY - Cadre playlist [exposer sa playlist dans son salon]

Il y a quelques jours, on m'a proposé de tester les produits du site carteland,
cela tombait a pique, car j'avais une idée en tête depuis quelques temps,
mais pas un rond jamais pris le temps de la réaliser,

je voulais créer un cadre qui mettrait en avant nos goûts musicaux
(à mon homme et moi, car les goûts musicaux des Twix...
hormis cette cruche de souris verte et ce con de Jean petit qui danse...),

une sorte de playlist visuelle.

Et comme le résultat me plaît assez  et je le partage avec vous.
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POUR CRÉER CE CADRE PLAYLIST IL VOUS FAUT :

- 24 visuels (14 cm x 14 cm pour moi)

Personnellement j'ai choisi un motif graphique que j'ai décliner en plusieurs couleurs et sur lesquels j'ai noté mes titres de chansons préférées en blanc.

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Et les imprimés sur 24 polaroid paula photo

comme je disais donc, j'ai eu l’opportunité de tester le site carteland
et le rendu est vraiment magnifique, une impression parfaite,
un rendu brillant exactement comme je le souhaitais,

bref, je suis plus que RAVIE et en toute sincérité, je commanderais sans hésiter chez eux à l'avenir pour mes achats de photo ou mes faire-parts
(non pas de faire-parts de naissance, je n'ai pas changé d'avis au sujet d'un 3em Twix ne vous emballez pas)


- un cadre.

Le mien vient d'une petite boutique vendant des objets artisanaux, issu du commerce équitable, le papier a été fait par des moutons mérinos (qui travaillent de leur plein gré) dans une bergerie du Périgord.

Ou alors vous avez l'option Gifi... à 18€ et des poussières le cadre de 50 par 70 cm.
Ou encore ceux de chez Centrakor a 12€ et des poussières.


- Du scotch

- Une règle

- Un jeu de société et/ou un homme pour occuper les enfants.

et puis bien sûr des vis, chevilles et une perceuse pour le fixer au mur, mais personnellement je laisse faire les professionnels pour cette partie, car je serais capable de faire tomber un mur et de me planter une mèche dans la main.


PREMIÈRE ÉTAPE :

- Ne pas exploser le cadre en le déchargeant de la voiture.

DEUXIÈME ÉTAPE :

- Trier les polaroids.


si toi aussi tu penses à dame Béatrice des visiteurs dès que tu entends le mot polaroid tape dans tes mains.


"Un polaroid Jacques ! Le nôtre est cassé les enfants l'ont jeté dans les cabinets"


Personnellement j'ai choisi de les placer de façon totalement aléatoire,
Comme c'est un peu le bordel dans ma playlist, on y trouve de tout, c'est assez représentatif de la réalité.

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TROISIÈME ÉTAPE :

- Coller les polaroids !

Alors là, vous vous dites "Punaise ça doit être galère de faire un truc droit"
et ô combien vous avez raison...

Rassurez vous en vous disant que vous avez connu bien pire en collant les stickers sur les jouets Kinder surprise.

Pour ma part, j'ai laissé un espace de 2,3cm entre chaque pola en largeur et 2cm en hauteur.
Bien parler française moi je fais.


pour les coller, j'ai opter pour la méthode dite du "morceau de scotch roulé, comme quand on avait 15 ans et que nous voulions coller des posters sous la soupente de notre chambre"

ce qui permet de ne pas tout arracher si vous devez déplacer un pola, car un enfant à couettes vous a fait bouger en vous mettant un coup de coude. (ça sent le vécu non ?)

QUATRIÈME ÉTAPE :


- Placer la vitre du cadre.

CINQUIÈME ÉTAPE :


- Boire une bière.

Et c'est terminé !
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C'était sans doute le DIY le plus rapide de l'histoire de l’humanité.
Idéal pour les personnes pas très manuelles qui souhaitent tout de même dire
"C'est moi qui l'aiiiii faiiiiit"

J’espère que ce petit cadre vous plaira, 
si vous le réalisez, n’hésitez pas à me poster vos photos sur les réseaux sociaux ! ;)

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Les péripéties du slip sale et de la chaussette célibataire.

Lorsque j'étais plus jeune et que j'imaginais ma future vie 
de femme charmante ayant 152 de QI, épouse et mère indigne épanouie.

Je m’imaginais me prélassant sur un transat en bois, 
une petite brise faisant tourner délicatement les pages de mon livre préféré, 
posé à côté de mon verre de jus de fruit, devant ma grande maison, 
mes enfants qui courent et font du vélo dans le jardin, 
mon homme jouant au freezbe avec Spiky notre adorable chien, 
pendant que le dîner chauffe et la tarte aux pommes refroidi sur le bord de la fenêtre.

Puis soudain un cri d’enthousiasme de mon homme :
"Regardez qui vient nous rendre visite ! c'est ce bon vieux Jonathan Garvey et sa famille !"

Oups, je m’égare, ça c'est Charles Ingalls, rien à voir.

Mais j'étais loin de m'attendre à ça :



"ça" c'est mon tas de linge propre désespérément en attente de tri... 
Je suis sympa et vous épargne la photo du linge sale.

Pucelle naïve que j'étais, j'imaginais la layette séchant doucement au vent derrière la maison.

Oh ce n'est pas tout à fait faux, 
j'ai bien un étendage derrière la maison, mais il sert quasiment uniquement pour les draps. 

Draps bien souvent accompagnés d'alaise, housse de couette, couette, taie d'oreiller, oreiller et doudous pour cause d'inondation au pipi en milieu de nuit. 

(pour ceux qui auraient des doutes, je parle du lit de Twix, pas du mien ! 
mon périnée va très bien et mon homme a une prostate de jeune homme, je vous remercie !!)

La layette quand à elle passait une bonne partie de son temps au fond du panier a linge sale, 
les places libres dans la machine se faisant rare à l'époque à cause de la recrudescence de cacas explosif quimontentjusquenhautdudos et de vomitos radioactifs.

Et dans ces cas là, il était (en théorie) évidemment impossible de laisser "mariner" ces vêtements sous peine d'odeurs nauséabonde et moisissures tel un bleu des causses oublié sur un placard.

Aujourd'hui les bodies on laissé place aux t-shirts Cars et aux robes à fleurs
et les Twix  ne font plus caca  ne vomissent plus,
mais les tâches sont toujours là, sous différente formes, 
parfois on ne saurait dire de quelle substance il s'agit, une sorte de patchwork de la tâche...

Entre les tâches de chocolat, de nourriture, de chocolat, 
de crottes de nez, de chocolat, de morve, chocolat, de feutre, de chocolat, de bave 
(ah ben personne n'a dit que les enfants étaient glamour...)

Alors, mon premier reflex une fois cette constatation faite a été de bannir le blanc, 
c'est bien connu "le blanc c'est salissant"
mais c'était sans compter sur le fait que les enfants sont ENCORE PLUS salissants que le blanc

le problème n'est pas la couleur, 
s'ils portent du noir, ils trouveront le moyen d'aller jouer dans des graviers blancs, 
avec des craies ou de se moucher sur leurs manches de pull !

A contrario ils feront une tâche de cambouis le jour où ils porteront pour la première fois 
un ensemble petit rafiot blanc et bleu ciel quivousacoûtélapeauducul..

Les enfants sont formidables !

A la limite peut-être qu'avec un ensemble couleur treillis en toile cirée auto nettoyante 
nous pourrions éviter quelques tâches, 
mais bizarrement impossible d'en trouver dans les magasins...

Encore une magouille pour inciter les vaches à lait parents à acheter plus, 
comme avec l'obsolescence programmer de feu mon aspirateur !  
Honteux ma bonne dame ! honteux !

Tout ça pour dire, que plus jeune je n'imaginais pas avoir 4 panières de linge sale, 
une de linge à repasser et une de linge propre à ranger dans ma buanderie.

Non parce qu'il y a bien sûr le linge sale, 
mais après, il faut encore le trier, le laver, l'étendre, le ramasser, le trier de nouveau, 
et ce avec 2 enfants qui essayent de vous aider 
en marchant sur entre et sur les piles de linge pliés tel Godzilla... 

Passer 8h à regrouper les chaussettes, 
pour finir par avoir quoi qu'il arrive des chaussettes célibataires, 
qui iront dans la boite à chaussettes en manque d'affection sur laquelle j'ai inscris "Meetic
et les y laisser des mois sans jamais trouver leur âme sœur...

Et pendant que nous étions en train de déposer les chaussettes dans leur boite, 
les enfants en ont profité pour faire du jardinage dans les plantes en pot, 
direction la machine à laver pour la 60em fois de la journée...

Comme disait Mufassa le papa qui meurt et nous fait tous pleurer dans "Le roi lion" :

"C'est comme, les maillons d'une chaîne dans le grand cycle de la buanderie..."


Ça c'est vré ça !

- A R T I C L E S _ R E C E N T S